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Toutes les réponses à vos questions.

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A la pointe de l’innovation et des technologies chirurgicales, nous aidons les chirurgiens à se former avec la Sebbin University, au travers de chirurgies en direct ou d’ateliers que nous réalisons à travers le monde. Ces interventions portent sur diverses spécialités de la chirurgie plastique, de l’augmentation mammaire composite à la reconstruction par implant, en passant par le lipofilling du visage ou la chirurgie d’augmentation glutéale (implants fessiers).
La Sebbin University, véritable lieu de formation, est aussi un espace d’échanges et de convivialité réunissant les professionnels de santé partenaires du Groupe Sebbin.

Contactez-nous à l’adresse e-mail suivante : contact@sebbin.com
Nous prendrons connaissance de votre demande et y répondrons dans les meilleurs délais, en vous dirigeant vers la personne adéquate, en fonction de votre zone géographique.

Le Groupe Sebbin est présent dans le monde entier. Son siège social est situé en France, à Boissy l’Aillerie, dans le département du Val d’Oise.
Le Groupe Sebbin a des filiales dans plusieurs pays européens : Royaume-Uni, Espagne, Belgique et Suisse, Allemagne et Autriche.
Son réseau de distribution couvre plusieurs zones géographiques au sein de plusieurs continents : Europe, Moyen-Orient, Asie-Pacifique, Amérique latine, ce qui confère à Sebbin une présence dans plus de 60 pays dans le monde.

Le syndrome ASIA (« Syndrome auto-immunitaire/inflammatoire induit par les adjuvants » ou « Autoimmune Syndrome Induced by Adjuvants » en anglais) se caractérise, dans ses formes les plus graves, par le développement de maladies auto-immunes tels que des maladies de la peau (sclérodermie, lupus), ou des douleurs osseuses et musculaires (fibromyalgie, rhumatisme articulaire).

Dans un rapport publié en 1998, un jury scientifique américain (US National Science Panel) a étudié la relation entre les implants mammaires et de potentiels troubles du tissu conjonctif et dysfonctionnements immunologiques. Aucune relation n’a été établie entre les implants mammaires pré-remplis de gel de silicone et l’un des troubles spécifiés du tissu conjonctif ou toute autre maladie auto-immune / rhumatismale. Il a été établi que les femmes portant des implants mammaires en silicone ne présentaient pas d’anomalies du système immunitaire pouvant être attribuées au silicone.
En 1999, un rapport indépendant présenté par un comité de l’Institute of Medicine aux États-Unis a indiqué que les troubles du tissu conjonctif, cancers, maladies neurologiques ainsi que les autres maladies systémiques ne sont pas plus courants chez les femmes porteuses d’implants mammaires que chez les femmes n’en portant pas.

Certaines études récentes, notamment celles de Colaris et al., publiées en juillet 2016 dans la revue « Immunologic Research », suggèrent l’existence d’un risque de « Syndrome auto-immune / inflammatoire induit par les adjuvants » (ASIA) , qui pourrait être causée par une incompatibilité avec le silicone, résultant sur les potentiels symptômes suivants: fièvre, douleurs musculaires et articulaires, fatigue chronique, manifestations neurologiques et détérioration des facultés cognitives. Cependant, les auteurs déclarent que des données expérimentales et épidémiologiques sont aujourd’hui manquantes pour confirmer l’existence de ce risque. Par prudence, l’implantation n’est pas recommandée chez les patients ayant des antécédents personnels ou familiaux de telles pathologies.

Le lymphome anaplasique à grandes cellules associé aux implants mammaires (BIA-ALCL) est un cancer du système immunitaire. Dans la plupart des cas, ce lymphome se trouve dans le tissu et liquide cicatriciel près de l’implant. Le risque qu’un individu développe ce lymphome est considéré comme faible.

Les principaux symptômes du BIA-ALCL sont un gonflement persistant, la présence d’une masse ou une douleur au niveau de l’implant mammaire. Parfois, seul un épanchement de liquide très abondant autour de l’implant peut constituer un signe annonciateur. Le caractère récidivant après ponction de cet épanchement liquidien, peut évoquer cette maladie. Si vous ressentez l’un de ces symptômes ou d’autres changements, informez votre chirurgien pour une étude plus approfondie.

Chez la plupart des patientes, il est traité avec succès au travers de la chirurgie pour retirer l’implant et le tissu cicatriciel environnant. Cette maladie semble pouvoir être induite par l’inflammation créée par la surface des implants. Certains types de textures ont été récemment interdits par quelques pays (dont la France) car ils représenteraient un risque plus important de développer un BIA-ALCL, sans que l’origine exacte de la pathologie soit connue. Dès la première annonce émise par la FDA (Food and Drug Administration) en 2016 sur une éventuelle association entre certaines surfaces d’implants mammaires et la possibilité de développer un BIA-ALCL, SEBBIN a décidé de lancer, en collaboration avec deux laboratoires, une thèse de doctorat sur la biocompatibilité des textures, qui est aujourd’hui terminée. Les résultats de cette thèse ont permis d’établir une nouvelle classification des textures visant à éviter toute confusion autour du mot « texturé » (1).

Le lymphome anaplasique à grandes cellules (BIA-ALCL) reste très exceptionnel, cependant, il constitue un risque dont les femmes candidates à une implantation mammaire doivent être informées.

(1) Source : « Surface texturation of breast implant impacts extracellular matrix and inflammatory gene expression in asymptomatic capsule. Plastic and reconstructive surgery », Brigaud I, Garabedian C, Bricout N, Pieuchot L, Ponche A, Deltombe R, et al. Dec 23, 2019.

La formation d’une capsule autour d’un implant mammaire est une réaction naturelle de votre corps.

Lorsque vous vous coupez, votre corps vous protège et guérit en créant une croûte, qui deviendra une nouvelle peau. C’est la même chose avec un implant. Lorsqu’un corps étranger est placé dans le corps, notre système immunitaire essaie de l’isoler en créant une capsule de tissu fibreux. La formation de cette capsule se produit généralement dans les premiers mois suivant l’opération. La formation d’une capsule dépend d’éléments variables, y compris de l’opération chirurgicale et de la réaction corporelle propre à chaque patiente.

Ce tissu fibreux peut se contracter et peut parfois entraîner un durcissement de la capsule, et par conséquent un durcissement et une déformation de la poitrine. On parle alors de «  »contracture capsulaire » ». Celle-ci peut se produire d’un seul côté (un seul sein) ou des deux côtés (les deux seins). Dans la plupart des cas, la contracture capsulaire est mineure.

La contracture capsulaire a été classée en quatre grades par le Dr Baker :
– Le grade I correspond à la capsule naturelle formée autour d’un corps étranger, sans aucun effet négatif (le sein est souple).
– Le grade II correspond au moment où la capsule devient plus ferme et perceptible. Certains patientes apprécient cette évolution, car leurs seins sont alors plus fermes.
– Le grade III peut avoir un impact esthétique, car la capsule est visible sous la peau et les implants commencent à se déformer. Une ré-opération peut alors être nécessaire dans la plupart des cas. Votre chirurgien vous fera passer les examens nécessaires pour savoir s’il est nécessaire d’opérer à nouveau dans votre cas personnel.
– Le grade IV peut provoquer des douleurs. La contracture capsulaire et la déformation sont plus fortes.

Parmi les symptômes d’une contracture capsulaire, on retrouve : un durcissement du/des sein(s), un implant mammaire déformé et/ou semblant être placé plus haut sur la cage thoracique, des ondulations de la peau, des douleurs au(x) sein(s).

Si vous ressentez l’un ou plusieurs de ces symptômes, contactez votre chirurgien. Il/Elle réalisera les examens nécessaires et sera en mesure de vous conseiller.

Si vous ressentez une gêne particulière, ressentez des symptômes inhabituels ou avez des questions au sujet de votre implant, rapprochez vous de votre chirurgien. Celui-ci saura répondre à vos questions et vous orienter vers les ressources adéquates.

Un implant mammaire n’est jamais posé à titre définitif ; comme tout biomatériau, il vieillit, il s’use et sa durée de vie n’est pas connue avec exactitude. Elle dépend des activités de l’individu, ainsi que de la réaction de son corps vis à vis de l’implant. Il est généralement conseillé de consulter son chirurgien tous les 12 à 18 mois pour effectuer un suivi médical adapté, et de changer d’implant 10 ans après la pose.

D’une manière générale, il n’existe pas de contre-indication à l’allaitement après une implantation, quel que soit le type de dispositif ; cependant, il peut être compromis dans le cas où, lors de l’intervention, les canaux galactophores seraient sectionnés. Un abcès du sein, s’il se produit au cours de l’allaitement, peut imposer le retrait de l’implant. Une étude, réalisée par Semple et al, utilisant le silicium (très abondant dans la nature et dont la silicone est dérivée) comme unité de mesure, a constaté que la quantité trouvée dans le lait de femmes porteuses d’implants est identitique à la quantité trouvée dans celui de femmes sans implant.

Pour la sérénité des patientes, le Groupe Sebbin offre un programme de garantie à long terme couvrant toute sa gamme d’implants mammaires préremplis de gel de silicone. Retrouvez plus d’informations sur notre page Garantie.

La reconstruction mammaire peut être réalisée dans le même temps opératoire que la mastectomie, on parle alors de reconstruction immédiate. La durée de l’intervention est plus longue que la reconstruction différée mais vous permet, à votre réveil, d’avoir votre sein reconstruit même si celui-ci ne prendra sa forme définitive qu’après plusieurs mois. Si la reconstruction a lieu dans un second temps opératoire (après la mastectomie), on parle de reconstruction différée. Elle nécessitera une seconde intervention et vous imposera de supporter pendant un temps plus ou moins long l’absence d’un sein.

Votre chirurgien vous invitera à une visite de contrôle dans les jours suivant l’intervention. Au cours de la première année après pose de la prothèse, une consultation est recommandée à 3, 6 et 12 mois, puis tous les ans. Votre chirurgien vous prescrira des examens de surveillance simples pour vérifier que tout va pour le mieux, par exemple, une IRM ( Imagerie par Résonance Magnétique) ou une échographie.

Après l’opération, un pansement avec bandage compressif évitera aux prothèses de bouger. Dès la sortie du bloc et pendant environ 1 mois, votre chirurgien vous conseillera de porter jour et nuit un soutien-gorge de grand maintien. Quelques douleurs peuvent être ressenties les jours suivants car les seins restent gonflés et peuvent tirer à hauteur du muscle pectoral. Il faudra éviter les mouvements larges des bras durant au moins 3 jours, éviter de conduire les 2 premières semaines et de porter des charges lourdes. Le sport est à exclure pendant 4 à 6 semaines minimum. Pas d’exposition au soleil pendant un mois pour une bonne cicatrisation ! Et bien sûr, pas de sommeil sur le ventre…

La récupération s’effectue en 1 à 2 heures en salle de réveil. L’équipe d’anesthésie veille à ce que le réveil se déroule dans les meilleures conditions. L’opération peut dans certains cas avoir lieu en ambulatoire (la patiente arrive le matin et repart en fin de journée), sinon, elle peut nécessiter 1 à 2 jours d’hospitalisation. Elle est suivie d’un repos de 5 à 10 jours.

En chirurgie esthétique, l’implant s’insère sous la glande (position rétroglandulaire) ou sous le muscle grand pectoral (position rétropectorale). L’incision s’effectue soit au niveau de l’aréole, soit dans le creux de l’aisselle ou dans le sillon situé sous le sein. Les cicatrices seront dissimulées sur le pourtour de l’aréole. Dans la majorité des cas d’augmentation mammaire, l’intervention est courte. Elle est réalisée au bloc opératoire, sous anesthésie générale. En reconstruction, le chirurgien utilise la cicatrice laissée par la mastectomie pour insérer l’implant. L’intervention peut parfois durer plus longtemps.

Pour opérer sereinement, le chirurgien et l’anesthésiste devront connaître vos antécédents médicaux. Votre chirurgien vous recommandera la voie d’insertion (voie sous-mammaire, voie péri-aréolaire ou voie axillaire) et le positionnement de l’implant (sous la glande mammaire ou sous le muscle grand pectoral) en adéquation avec votre morphologie et, comme pour toute intervention, il vous fera prendre connaissance du classique « consentement éclairé » que vous devrez approuver et signer.

Un implant, même parfaitement toléré, peut être perceptible, visible ou décelable dans son ensemble ; il peut être possible de palper son bord périphérique. La perception d’un dispositif varie en fonction de son positionnement, de son contenu et de l’épaisseur de la glande mammaire et des tissus. En général, la visibilité est moindre en cas d’implantation derrière le muscle. En chirurgie reconstructrice après une mammectomie, l’implant est toujours palpable quel que soit son emplacement, du fait de l’absence de glande mammaire.

La pose d’implants mammaires doit être réalisée par un chirurgien enregistré au Conseil National de l’Ordre des Médecins (CNOM). Un chirurgien plasticien est un chirurgien qualifié en chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique. En France, deux associations de chirurgiens font référence dans la profession : la Société Française de Chirurgie Plastique, Reconstructrice et Esthétique (SOFCPRE) et la Société Française des Chirurgiens Esthétiques et Plasticiens (SOFCEP). Il ne faut pas hésiter à consulter différents chirurgiens car une relation de confiance doit absolument exister entre la patiente et son chirurgien.

En France, il varie en fonction de divers éléments : le type de dispositif utilisé, le lieu de l’intervention (clinique ou hôpital), la durée de l’hospitalisation les honoraires du chirurgien et de l’anesthésiste. En cas de reconstruction après une mammectomie, la prise en charge est automatique par l’assurance maladie. Les modalités de prise en charge sont consultables sur www.ameli.fr.
Dans le cadre d’une intervention purement esthétique, le coût est totalement à la charge de la patiente.

Lorsque le dispositif est posé entre la glande mammaire et le muscle pectoral, les suites opératoires sont peu douloureuses avec simplement une sensation de tension des seins pendant quelques jours. Lorsque le dispositif est positionné derrière le muscle pectoral, les suites opératoires sont généralement plus douloureuses et peuvent nécessiter la prise d’antalgiques pendant quelques jours. Le degré de douleur est aussi directement lié à des facteurs individuels tels que, entre autres, l’adéquation entre le volume de l’implant choisi et l’élasticité de la peau.

Sebbin propose une large gamme d’implants en silicone aux différentes formes, textures et aux gels plus ou moins cohésifs, afin de répondre aux souhaits et aux besoins de chacun. Votre chirurgien pourra vous aider à choisir le modèle qui vous correspond, en prenant des mesures précises et des photos de votre poitrine. Grâce à un outil de simulation en ligne, vous pourrez simuler le rendu final en réalité augmentée. Votre chirurgien pourra également vous proposer de comparer les différents modèles Sebbin en plaçant des gabarits externes (sizers) dans votre soutien-gorge, afin de comparer les différentes projections possibles.

La silicone provient du silicium que l’on retrouve entre autres dans le sable. Le silicium devient la silicone lorsqu’il est combiné à l’oxygène, au carbone et à l’hydrogène. C’est ainsi que l’on peut retrouver la silicone sous forme de gel, huile ou gomme en fonction des combinaisons de chaque élément chimique qui la compose. La silicone est un matériau inerte utilisée depuis 1946 dans le domaine médical. Elle entre dans la fabrication des lentilles intraoculaires, des pacemakers et bien entendu dans celle des implants mammaires depuis 1963. Sa principale qualité est qu’elle ne provoque pas de réaction importante de l’organisme. Ses qualités mécaniques lui confèrent une grande résistance aux chocs.

Un implant est constitué d’une enveloppe souple en élastomère de silicone qui donne sa forme à la prothèse et qui fait l’interface avec l’organisme. Cette enveloppe fermée par une pastille d’occlusion (elle aussi en silicone), peut être soit vendue vide à remplir par le chirurgien avec du sérum physiologique pendant l’opération (implant dit « gonflable »), soit vendue pré-remplie de gel de silicone cohésif.

Sebbin propose une gamme large et exigeante de dispositifs médicaux de série ou sur-mesure :
– Implants pour le corps (mammaires, glutéaux, testiculaires, mollets, thoraciques)
– Implants pour le visage (mentons et malaires)
– Expanseurs cutanés
– Lipofilling et matrices acellulaires

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